Cette année, je suis allée deux fois à l’Opéra Garnier.
Pour la première fois en août avec ma sœur, la deuxième pour participer à l’escape game Inside Opéra, le mois dernier.
A chaque fois, mon attention a été retenue par certaines oeuvres.
Cette peinture s’intitule « Mademoiselle SANDRINI, rôle de Lilia dans la Maladetta de Pedro Gailhard » par Edouard DEBAT-PONSAN (1847-1913), réalisée en 1893 au Théâtre de l’Opéra. Elle m’impressionne par sa taille, mais aussi par l’expression de la danseuse et son attitude fière.
Ces photos, pour le mélange entre la peinture et la photographie, et la palette de couleurs.
Le plafond de la grande salle de l’Opéra, par Chagall, pour sa modernité qui détonne avec le reste des fresques.
La majorité des fresques du Grand Foyer, pour la richesse de leurs couleurs, qu’on croirait mélangées avec de l’or, et les magnifiques portraits de femmes de chaque côtés, précis et délicats.
Finalement, les salons du Soleil et de la Lune, à l’atmosphère si particulière, mais à laquelle mes photos ne rendront pas justice.
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